2017_09_24_ Silence, on tourne ! - le-thillot.com : archives 2017
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SILENCE, ON
TOURNE !
C’est dans la boite ! Le tournage du documentaire par une équipe de la NHZ venue de Nouvelle-Zélande pour le compte d’une télévision chinoise est réalisé (voir publication). Vendredi, toute la journée, l’ensemble des acteurs était mobilisé sur le terrain pour le compte de la société de production néo-zélandaise. Après s’être rendu sur site en 4x4, d’abord à la galerie des Arts, puis dans galerie St-Charles, trois membres de la SESAM : Francis Pierre bien sûr, accompagné de Dominique Heckenbenner "script mobilier" et conservatrice pointilleuse (dans le bon sens du terme) sur et sous le terrain, et Jean-Pierre Galmiche à la logistique et aide éclairagiste ont présenté le site avec force détails, insistant particulièrement sur l’arrivée et l’utilisation de la poudre noire, thème central du documentaire commandé par la TV Chinoise à l’équipe de la NHZ.
Une équipe de
tournage internationale, puisque composée d’un réalisateur
écossais, un ingénieur du son irlandais, un opérateur image
américain et un coordinateur français. En dépit des difficultés
rencontrées pour filmer dans les étroites galeries, l’équipe de
tournage a exprimé avec le sourire sa satisfaction à la fin des
prises de vues.
A noter l'importante et indispensable contribution de la commune de Fresse avec, en tête sur le terrain, la précieuse et efficace collaboration de Sébastien Bally et la participation de la Ligue Lorraine de Spéléologie qui a mis à disposition des casques adaptés et l'éclairage de chantier sur batterie.
Si la renommée du site minier local a d’ores et déjà dépassé les frontières de l’hexagone, nul doute que la diffusion à venir de ce documentaire permettra d’asseoir encore plus largement la notoriété des anciennes mines du duc de Lorraine.
A noter l'importante et indispensable contribution de la commune de Fresse avec, en tête sur le terrain, la précieuse et efficace collaboration de Sébastien Bally et la participation de la Ligue Lorraine de Spéléologie qui a mis à disposition des casques adaptés et l'éclairage de chantier sur batterie.
Si la renommée du site minier local a d’ores et déjà dépassé les frontières de l’hexagone, nul doute que la diffusion à venir de ce documentaire permettra d’asseoir encore plus largement la notoriété des anciennes mines du duc de Lorraine.
