2018_12_07 Cérémonie cantonale AFN - le-thillot.com : archives année 2018
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GUERRE D’ALGERIE, COMBATS DU MAROC ET
DE TUNISIE
Souvenir et indignation
La commune de
Fresse avait cette année l’honneur d’organiser la cérémonie
cantonale dans le cadre de la journée nationale d’hommage aux
« Morts pour la France » de la guerre d’Algérie et des
combats du Maroc et de Tunisie. Une cérémonie qui a, dans un
premier temps, pris ses quartiers sur la place de l’Eau Vive
suivant un protocole millimétré placé sous la responsabilité de
Régis Thomesse. Lever du drapeau par Michel Philippe (une première
pour lui), appel des 16 morts issus du canton par Pierre Dabrinville
et Charles Andréoli , lecture du message du ministre par Dominique
Peduzzi, dépôt de trois gerbes au pied du Monument aux Morts :
de la Municipalité par les maires des communes, du Souvenir Français
par Christian Violette, Henri Montémont, Jean-Aimé Morizot, l’abbé
Piotr Wilk et l’Adj.C Philippe Antoine et la gerbe des AFN par
Claude Vincent, André Houbre, Hubert Vannson et l’Adj. Pascal
Berthelier.
Ces cérémonies terminées, le cortège rejoignait la salle des fêtes où la parole était dans un premier temps donnée à Claude Vincent pour la lecture du message du Président départemental des AFN qui exprimait son indignation devant les dégradations subies à l’Arc de Triomphe à l’occasion des manifestations du week-end dernier. Un sentiment que Dominique Peduzzi partageait totalement : « Exprimer son désaccord : pourquoi pas ? Mais ne pas saccager ! », avant de philosopher à propos de ce conflit : «La période est trouble et incertaine. J’espère que tous retrouveront le sens de l’écoute et du partage afin que la nation reste humaine et respectueuse des uns et des autres ».
Ces cérémonies terminées, le cortège rejoignait la salle des fêtes où la parole était dans un premier temps donnée à Claude Vincent pour la lecture du message du Président départemental des AFN qui exprimait son indignation devant les dégradations subies à l’Arc de Triomphe à l’occasion des manifestations du week-end dernier. Un sentiment que Dominique Peduzzi partageait totalement : « Exprimer son désaccord : pourquoi pas ? Mais ne pas saccager ! », avant de philosopher à propos de ce conflit : «La période est trouble et incertaine. J’espère que tous retrouveront le sens de l’écoute et du partage afin que la nation reste humaine et respectueuse des uns et des autres ».
