LE THILLOT
Médiathèque : écrire la Beauté
Sur la scène de
la salle Cécile Valence en septembre dernier, Louis Ville était à
nouveau invité de la médiathèque ce dernier samedi, mais pour une
toute autre prestation. En la circonstance, l’artiste était
présent pour animer un atelier d’écriture sur le thème de la
beauté, au centre du « Printemps des Poètes » version
2019. Un exercice qu’il connait bien, pratiquant cette activité
depuis de nombreuses années, notamment en milieu carcéral ou encore
dans des Instituts Médico-Educatifs. « Des moments de partage
dont j’ai profondément besoin » expliquait-il « Qui me
permettent de redescendre de mon petit château pour des
confrontations nécessaires avec des mots et des idées ».
Le temps d’une présentation et des premiers échanges pour faire connaissance, et l’animateur du jour lançait l’atelier : « L’affiche de cet atelier m’a un peu chipoté » confiait-il « Car je considère de la beauté n’est pas que plastique. Elle est partout ».
Première sollicitation lancée : « Définissez la beauté en une phrase ». Le calme se faisait dans la salle et chacun commençait à gratter le papier. De toutes évidences, certains allaient beaucoup plus loin que la consigne, remplissant plusieurs pages… Pas important !
Venait le temps de la présentation au groupe. Si la nature, un coucher de soleil, le rire d’un bébé revenait de façon récurrente dans les lectures, d’autres conceptions de la beauté étaient confiées : un sourire, un bonjour, l’osmose entre un cavalier et son cheval, dans le silence de quelqu’un, la fleur qui pousse au milieu du béton, une fleur violette dans un champ de colza…
Au terme de cette première présentation, Louis Ville interrogeait : « Peut-on trouver de la beauté dans la souffrance ? ». Les débats et discussions étaient bien lancés…
Le temps d’une présentation et des premiers échanges pour faire connaissance, et l’animateur du jour lançait l’atelier : « L’affiche de cet atelier m’a un peu chipoté » confiait-il « Car je considère de la beauté n’est pas que plastique. Elle est partout ».
Première sollicitation lancée : « Définissez la beauté en une phrase ». Le calme se faisait dans la salle et chacun commençait à gratter le papier. De toutes évidences, certains allaient beaucoup plus loin que la consigne, remplissant plusieurs pages… Pas important !
Venait le temps de la présentation au groupe. Si la nature, un coucher de soleil, le rire d’un bébé revenait de façon récurrente dans les lectures, d’autres conceptions de la beauté étaient confiées : un sourire, un bonjour, l’osmose entre un cavalier et son cheval, dans le silence de quelqu’un, la fleur qui pousse au milieu du béton, une fleur violette dans un champ de colza…
Au terme de cette première présentation, Louis Ville interrogeait : « Peut-on trouver de la beauté dans la souffrance ? ». Les débats et discussions étaient bien lancés…