LE MENIL
Echanges conviviaux au troc de plantes
Si la menthe
marocaine, la monnaie du pape, le maïs doux ou encore la saponaire,
espèces connues de tous (ou presque…), étaient au centre des
échanges ce dimanche sous le préau de la Familiale, d’autres
comme la lysimaque ou encore cette curieuse plante à laquelle il a
été impossible de donner un nom (le mertensia ?) mais qui a
cette caractéristique d’avoir un goût d’huitre (!)
alimentaient également les discussions, tout comme ce légume
précieux durant la dernière guerre qu’est le topinambour.
Le tout dans une grande convivialité qui fait que les amateurs ont pris tout leur temps pour échanger, malgré une température quelque peu frisquette, voire plus. Pour permettre aux visiteurs de se réchauffer, l’équipe du Comité des Fêtes offrait un café bien chaud que chacun a pu déguster tout en continuant à échanger librement.
Un moment particulièrement riche, mais aussi militant : face à des multinationales qui veulent confisquer le vivant en imposant aux législateurs de n’autoriser que les graines brevetées qu’elles seules sont capables de s’offrir, ce troc de plantes s’inscrit non seulement dans une tradition séculaire, mais aussi dans une forme de résistance à ces industriels dont le seul objectif est d’engraisser des actionnaires avides de dividendes.
Prochain rendez-vous Comité des Fêtes : le marché aux puces du lundi 10 juin - lundi de la Pentecôte - manifestation d’envergure pour laquelle François Scébalt lance un appel aux bonnes volontés pour donner un précieux coup de main.
Le tout dans une grande convivialité qui fait que les amateurs ont pris tout leur temps pour échanger, malgré une température quelque peu frisquette, voire plus. Pour permettre aux visiteurs de se réchauffer, l’équipe du Comité des Fêtes offrait un café bien chaud que chacun a pu déguster tout en continuant à échanger librement.
Un moment particulièrement riche, mais aussi militant : face à des multinationales qui veulent confisquer le vivant en imposant aux législateurs de n’autoriser que les graines brevetées qu’elles seules sont capables de s’offrir, ce troc de plantes s’inscrit non seulement dans une tradition séculaire, mais aussi dans une forme de résistance à ces industriels dont le seul objectif est d’engraisser des actionnaires avides de dividendes.
Prochain rendez-vous Comité des Fêtes : le marché aux puces du lundi 10 juin - lundi de la Pentecôte - manifestation d’envergure pour laquelle François Scébalt lance un appel aux bonnes volontés pour donner un précieux coup de main.