SAINT MAURICE SUR MOSELLE
113 ans d’histoire de l’automobile
La 4ème édition de la Montée Historique du Ballon d’Alsace a permis de passer en revue une large part d’histoire de l’automobile en remontant à 1906 (77 photos)
Dimanche, en fin de matinée, tous les feux étaient au vert pour faire de ce cru 2019 de la Montée Historique du Ballon d’Alsace une pleine réussite.
Le public était déjà nombreux pour admirer les belles mécaniques inscrites à cette course de côte.
Parmi les quelques 160 bolides d’hier – voire d’avant-hier – ou plus récents, les petites Fiat 500 et autres NSU se sont frottées sans complexe aux gros calibres que sont les Porsche 906 ou 910. Les vieilles dames toutes rutilantes, dont la doyenne du jour – une Mercedes Simplex de 1906 avec ses roues en bois – ne s’en laissaient pas compter sur les pentes du Ballon, notamment les Bugatti qui faisaient rugir des moteurs qui ne demandaient que cela.
Un défilé bariolé qui a permis de mesurer l’évolution de la « bagnole » en un peu plus d’un siècle.
Tout simplement impressionnant de techniques et d’imagination. Notamment dans l’habillage dont les formes ont pris des directions incroyablement multiples, la plupart cherchant à conjuguer efficacité et esthétisme. La AC Cobra 1975 avec ses lignes toutes en rondeurs et son interminable pot d’échappement de « Dédé » Crouvezier, amateur de belles « bagnoles », présent depuis la première édition était un superbe exemple dans cette recherche d’osmose technico-esthétique.
Parmi les quelques 160 bolides d’hier – voire d’avant-hier – ou plus récents, les petites Fiat 500 et autres NSU se sont frottées sans complexe aux gros calibres que sont les Porsche 906 ou 910. Les vieilles dames toutes rutilantes, dont la doyenne du jour – une Mercedes Simplex de 1906 avec ses roues en bois – ne s’en laissaient pas compter sur les pentes du Ballon, notamment les Bugatti qui faisaient rugir des moteurs qui ne demandaient que cela.
Un défilé bariolé qui a permis de mesurer l’évolution de la « bagnole » en un peu plus d’un siècle.
Tout simplement impressionnant de techniques et d’imagination. Notamment dans l’habillage dont les formes ont pris des directions incroyablement multiples, la plupart cherchant à conjuguer efficacité et esthétisme. La AC Cobra 1975 avec ses lignes toutes en rondeurs et son interminable pot d’échappement de « Dédé » Crouvezier, amateur de belles « bagnoles », présent depuis la première édition était un superbe exemple dans cette recherche d’osmose technico-esthétique.
Un passage en
revue de formes et de techniques dont certaines totalement
inattendues comme cette Morgan 3 roues à moteur de moto, d’une
esthétique discutable, mais totalement surprenante et témoignant
de l’imagination débordante des ingénieurs.
Et si certains pilotes étaient là d’abord pour montrer leurs belles mécaniques et profiter du superbe paysage défilant au gré des neuf kilomètres de montée vers le sommet sans prendre le moindre risque envers leur « joujou », d’autres, plus fougueux, se sont laissés aller, comme Guy Bertrand sur sa Clio R3T qui n’a pas hésité un instant à lâcher les chevaux. Tout comme le pilote thillotin, d’autres ont laissé de la gomme sur l’asphalte dans les virages en épingle. Le public a beaucoup apprécié, le témoignant pas ses applaudissements. Du beau, du très beau spectacle, mis en scène par l’équipe de Jean-Pierre Munsch qui, pour cette occasion, avait mobilisé une armée de quelques trois cents bénévoles dont une quarantaine issus des rangs du Moto Club RN66.
Un spectacle qui s’est poursuivi malgré la pluie arrivée dans le courant de l’après-midi et qui n’a pas empêché pilotes et spectateurs de prendre du plaisir. C’était bien là l’objectif de cette journée.
Et si certains pilotes étaient là d’abord pour montrer leurs belles mécaniques et profiter du superbe paysage défilant au gré des neuf kilomètres de montée vers le sommet sans prendre le moindre risque envers leur « joujou », d’autres, plus fougueux, se sont laissés aller, comme Guy Bertrand sur sa Clio R3T qui n’a pas hésité un instant à lâcher les chevaux. Tout comme le pilote thillotin, d’autres ont laissé de la gomme sur l’asphalte dans les virages en épingle. Le public a beaucoup apprécié, le témoignant pas ses applaudissements. Du beau, du très beau spectacle, mis en scène par l’équipe de Jean-Pierre Munsch qui, pour cette occasion, avait mobilisé une armée de quelques trois cents bénévoles dont une quarantaine issus des rangs du Moto Club RN66.
Un spectacle qui s’est poursuivi malgré la pluie arrivée dans le courant de l’après-midi et qui n’a pas empêché pilotes et spectateurs de prendre du plaisir. C’était bien là l’objectif de cette journée.