LE MENIL
Un moment hivernal de pure Beauté
La nature est
pourvoyeuse de plaisirs aussi variés que jamais démentis. La
période de neige, suivie de nuits au froid intense offre au
promeneur des paysages tout aussi extraordinaires dans leur beauté
qu’ordinaires pour ceux qui aiment profiter de ce véritable
défilement de cartes postales qui jalonne une balade dans des
conditions conjuguant neige et soleil comme ce dernier dimanche.
Le temps de gagner les hauteurs de la cité, juste au-dessus de la Maison des Associations, par la route parfaitement dégagée par les services techniques communaux, de chausser les raquettes et la promesse d’un superbe moment est là. L’invitation passe d’abord par un chemin où nombreux sont déjà celles et ceux qui ont souhaité fouler la couche de neige, soit à pied, soit en raquettes, soit en ski. Quelques traces de luges témoignent encore de cette envie irrésistible de profiter de ce moment hivernal.
A chaque pas, le crissement caractéristique de la couche gelée se fait entendre, témoignant du froid polaire de la nuit qui a formé cette fine croûte au-dessus de l’épaisse couche de poudreuse et qui scintille de milliers de paillettes scintillantes des cristaux de glace reflétant les rayons du soleil dans un éclat d’une pureté absolue.
Tout au long de la montée vers la Tête des Renards, ces traces se poursuivent, quelques fois agrémentées d’empreintes de pattes de chiens ayant accompagné leurs maîtres dans ce périple plaisir. Çà et là, d’autres vies présentes, aussi discrètes que furtives pour qui a la chance de la rencontrer, ont laissé le témoignage de leur passage sur ce chemin : ici un chevreuil, là un lapin ou encore, plus légèrement, les empreintes d’un oiseau ayant effectué quelques sauts avant de reprendre son envol.
Le temps de gagner les hauteurs de la cité, juste au-dessus de la Maison des Associations, par la route parfaitement dégagée par les services techniques communaux, de chausser les raquettes et la promesse d’un superbe moment est là. L’invitation passe d’abord par un chemin où nombreux sont déjà celles et ceux qui ont souhaité fouler la couche de neige, soit à pied, soit en raquettes, soit en ski. Quelques traces de luges témoignent encore de cette envie irrésistible de profiter de ce moment hivernal.
A chaque pas, le crissement caractéristique de la couche gelée se fait entendre, témoignant du froid polaire de la nuit qui a formé cette fine croûte au-dessus de l’épaisse couche de poudreuse et qui scintille de milliers de paillettes scintillantes des cristaux de glace reflétant les rayons du soleil dans un éclat d’une pureté absolue.
Tout au long de la montée vers la Tête des Renards, ces traces se poursuivent, quelques fois agrémentées d’empreintes de pattes de chiens ayant accompagné leurs maîtres dans ce périple plaisir. Çà et là, d’autres vies présentes, aussi discrètes que furtives pour qui a la chance de la rencontrer, ont laissé le témoignage de leur passage sur ce chemin : ici un chevreuil, là un lapin ou encore, plus légèrement, les empreintes d’un oiseau ayant effectué quelques sauts avant de reprendre son envol.
Plein les yeux, les poumons et la tête...
La montagne, couverte de cette couche blanche immaculée, se fait encore plus belle à l’approche de la forêt.
Si le bouleau à l’écorce blanche se présente sans trop de changement aux yeux du promeneur, il en va tout autrement pour les conifères chargés de neige qui se rassemblent en tribus d’arbres de Noël. Même les épicéas malades de la sécheresse et des attaques des scolytes parviennent à redevenir beaux, le temps de ce moment magique.
Tout au long de la balade, quelques branches de genêts tentent de s’extirper de la gangue de froidure pour profiter un peu de la lumière et d'un peu de la chaleur dispensée par les rayons du soleil. A quelques encablures de l’arrivée, la bise pointe son nez. En témoigne les vagues arabesques que le vent a sculptées à la surface de la neige.
Arrivé au sommet de la Tête des Renards, site cher à l’association de parapente « Le Ménil Vol Libre » de Martial Gehin, le pylône se présente nu, la manche à air ayant rendu son tablier durant la saison. Au loin, la montagne vosgienne s’offre sous ses plus beaux jours dans sa robe hivernale. Tout simplement la Beauté !
Trois skieurs randonneurs s’en donnent à « glisse joie » sur les pentes enneigées, tandis qu’un promeneur, accompagné de son chien avoue en toute simplicité avoir sacrifié son après-midi « téloche » pour faire cette virée et… ne le regrette en rien !
Le temps de s’en mettre plein les yeux, les poumons et la tête, d’écouter le silence profond régnant sur place et le moment est venu de redescendre.
Quoiqu’il arrive, le reste de la journée sera beau !
Arrivé au sommet de la Tête des Renards, site cher à l’association de parapente « Le Ménil Vol Libre » de Martial Gehin, le pylône se présente nu, la manche à air ayant rendu son tablier durant la saison. Au loin, la montagne vosgienne s’offre sous ses plus beaux jours dans sa robe hivernale. Tout simplement la Beauté !
Trois skieurs randonneurs s’en donnent à « glisse joie » sur les pentes enneigées, tandis qu’un promeneur, accompagné de son chien avoue en toute simplicité avoir sacrifié son après-midi « téloche » pour faire cette virée et… ne le regrette en rien !
Le temps de s’en mettre plein les yeux, les poumons et la tête, d’écouter le silence profond régnant sur place et le moment est venu de redescendre.
Quoiqu’il arrive, le reste de la journée sera beau !