HAUTE MOSELLE
Les collégiens en pincent pour le théâtre et le yoga
Depuis quelques jours, des élèves – et pas seulement au collège Jules Ferry - sont entrés de plein pied dans le monde du théâtre. Un monde magique que l’apprentissage purement scolaire des grands classiques ne permet pas – ou très peu – d’entrevoir et promue au niveau national par l’OCCE - Office Central de la Coopération à l'École, localement avec l’aide d’ Héloïse Erhard, responsable des actions pédagogiques au Théâtre du Peuple et de Hugues Gerbaut, conseiller pédagogique en arts Plastiques.
« L’objectif est de permettre aux élèves une rencontre avec cet art de la scène » précise Sylvie Pierrat, documentaliste du collège, référente culture de l’établissement et, à ce titre, chef d’orchestre de cette opération THÉA.
Une animation riche de qualités multiples qui a donc débuté il y a deux semaines maintenant et qui va prendre son temps pour ouvrir en grand les portes de la pratique théâtrale à quelques 182 élèves du secteur. Sont ainsi concernés les collégiens de la classe de 6ème2, ainsi que sept classes issues de cinq écoles primaires de Haute Moselle et une de La Bresse (CM2 de la Bresse avec M. Claudel, des classes de CP, CE1-CE2 de Rupt sur Moselle avec Mmes Bellot et Durupt, de la classe de CP-CE1-CE2 de Ferdrupt avec Mme Boulanger, de la classe de CE1 du Thillot avec Mme Gérard, des classes de CE2 et CM1-CM2 de Ramonchamp avec Mme Brasme et M. Vanderplaets).
Support de choix pour cette sensibilisation, l’histoire du petit Titus, gamin rêveur à l’imaginaire non bridé qui se coltine au quotidien le monde des grands, contée dans « Après grand, c’est comment ? », un texte poétique signé Claudine Galéa. Une autrice qui ne manquera pas de venir rendre visite aux jeunes théâtreux et qui verra également la participation sur le terrain de Marine Behar, comédienne professionnelle, qui présentera notamment un spectacle sur la scène de la salle culturelle de la médiathèque avec, au menu, un autre texte écrit par Claudine Galéa :
« L’objectif est de permettre aux élèves une rencontre avec cet art de la scène » précise Sylvie Pierrat, documentaliste du collège, référente culture de l’établissement et, à ce titre, chef d’orchestre de cette opération THÉA.
Une animation riche de qualités multiples qui a donc débuté il y a deux semaines maintenant et qui va prendre son temps pour ouvrir en grand les portes de la pratique théâtrale à quelques 182 élèves du secteur. Sont ainsi concernés les collégiens de la classe de 6ème2, ainsi que sept classes issues de cinq écoles primaires de Haute Moselle et une de La Bresse (CM2 de la Bresse avec M. Claudel, des classes de CP, CE1-CE2 de Rupt sur Moselle avec Mmes Bellot et Durupt, de la classe de CP-CE1-CE2 de Ferdrupt avec Mme Boulanger, de la classe de CE1 du Thillot avec Mme Gérard, des classes de CE2 et CM1-CM2 de Ramonchamp avec Mme Brasme et M. Vanderplaets).
Support de choix pour cette sensibilisation, l’histoire du petit Titus, gamin rêveur à l’imaginaire non bridé qui se coltine au quotidien le monde des grands, contée dans « Après grand, c’est comment ? », un texte poétique signé Claudine Galéa. Une autrice qui ne manquera pas de venir rendre visite aux jeunes théâtreux et qui verra également la participation sur le terrain de Marine Behar, comédienne professionnelle, qui présentera notamment un spectacle sur la scène de la salle culturelle de la médiathèque avec, au menu, un autre texte écrit par Claudine Galéa :
Recherche sur le Yoga dans l’Education
Et si Sylvie Pierrat reste bien évidemment mobilisée au collège pour le mise en œuvre de cette action culturelle, la conduite du projet sur le terrain est assurée par Caroline Gauche, « prof » de français qui a ajouté une autre dimension dans le cadre de la formation qu’elle suit actuellement visant à intégrer le yoga dans l’éducation, avec la bénédiction des instances nationales.« Des exercices de respiration, étirements, postures qui leur permettent d’entrer dans l’histoire de façon très concrète et de la vivre physiquement. Chacun exerce aussi sa concentration, développe son imagination,» explique-t-elle « Le yoga permet également d’affiner son rapport à soi et à l’autre, de conscientiser ses émotions, de façon à nourrir le travail dans le cadre de cette action, et bien au-delà ».
Héloïse Erhard est également intervenue pour participer à la lecture de la pièce, de même qu’il est prévu l’intervention de Hugues Garbaut qui aura pour mission d’orchestrer la réalisation d’œuvre collective à partir des émotions qui ont émergé au fur et à mesure des séances.
Les premières rencontres ont bien évidemment permis de faire connaissance avec le texte.
Héloïse Erhard est également intervenue pour participer à la lecture de la pièce, de même qu’il est prévu l’intervention de Hugues Garbaut qui aura pour mission d’orchestrer la réalisation d’œuvre collective à partir des émotions qui ont émergé au fur et à mesure des séances.
Les premières rencontres ont bien évidemment permis de faire connaissance avec le texte.
Des séances de lecture expressives ont été proposées aux élèves, après que les rôles aient été répartis, et qui ont enregistrées à des fins de diffusion sur les radios locales. Le tout mixé avec une première approche du yoga. « Ces exercices ne sont pas évidents pour les élèves » témoigne Caroline Gauche « Cependant, ils sont globalement très nombreux à adhérer ».
Enfin, les élèves concernés par ce superbe projet d’envergure seront invités à un dernier moment très fort qui les verra monter sur la scène du Théâtre du Peuple à Bussang afin de restituer leur travail.
Enfin, les élèves concernés par ce superbe projet d’envergure seront invités à un dernier moment très fort qui les verra monter sur la scène du Théâtre du Peuple à Bussang afin de restituer leur travail.
Ce sera au mois de mai, si les conditions sanitaires le permettent…