HAUTE MOSELLE
SI Epuration : gros travaux à Bussang et au Ménil
Le débat d’orientation budgétaire, obligatoire pour toute collectivité
de plus de 3500 habitants, a été pour Michel Mourot, l’occasion ce dernier
lundi de déflorer les grands axes du prochain budget primitif du Syndicat
Intercommunal d’Epuration qu’il préside.
Deux gros dossiers sont en préparation, qui affecteront les prévisions 2021 : les travaux à Bussang qui permettront à terme de mettre la station « out » par le biais d’une jonction au collecteur intercommunal qui acheminera les effluents à la station d’épuration du Thillot. Les travaux, dont le montant total est estimé à 2 697 800 €HT, seront programmés en 2021 pour la partie études et 2022 pour la réalisation.
L’autre gros dossier concerne les travaux qui sont à l’ordre du jour depuis quelques temps déjà sur le réseau très vieillissant permettant d’acheminer les eaux usées du Ménil vers la station de la Champagne. Un chantier estimé à 658 425 €HT qui permettra la réhabilitation de ce réseau vétuste qui laisse entrer de grosses quantités d’eaux pluviales et qu’il convient d’éradiquer. Pour financer ces travaux, un emprunt de 350 000€ sera contracté.
Pour ces deux gros dossiers, des demandes de subventions vont partir à destinations des financeurs potentiels. S’il déplorait le désengagement de l’Agence de l’Eau en tant que financeur, le président se montrait optimiste quant aux aides qui pourraient être validées, notamment via le plan de relance décidé au niveau national.
Deux gros dossiers sont en préparation, qui affecteront les prévisions 2021 : les travaux à Bussang qui permettront à terme de mettre la station « out » par le biais d’une jonction au collecteur intercommunal qui acheminera les effluents à la station d’épuration du Thillot. Les travaux, dont le montant total est estimé à 2 697 800 €HT, seront programmés en 2021 pour la partie études et 2022 pour la réalisation.
L’autre gros dossier concerne les travaux qui sont à l’ordre du jour depuis quelques temps déjà sur le réseau très vieillissant permettant d’acheminer les eaux usées du Ménil vers la station de la Champagne. Un chantier estimé à 658 425 €HT qui permettra la réhabilitation de ce réseau vétuste qui laisse entrer de grosses quantités d’eaux pluviales et qu’il convient d’éradiquer. Pour financer ces travaux, un emprunt de 350 000€ sera contracté.
Pour ces deux gros dossiers, des demandes de subventions vont partir à destinations des financeurs potentiels. S’il déplorait le désengagement de l’Agence de l’Eau en tant que financeur, le président se montrait optimiste quant aux aides qui pourraient être validées, notamment via le plan de relance décidé au niveau national.
Impact sur le prix du m3 facturé
Le prochain budget va encore être marqué par le remboursement de l’emprunt relais d’un million d’Euros qui a servi à financer les travaux de réseau entre St Maurice/Mle et la station thillotine. Michel Mourot n’hésitait pas à faire part de sa mauvaise humeur suite à des non conformités (inversion de pompes) ayant généré du retard dans la réception des travaux et donc retardé l’arrivée des subventions.Tout devrait rentrer dans l’ordre avec une réception des travaux qui a eu lieu hier et les 12 673.34 € d’indemnités de retard que le président, remonté comme une horloge, veut facturer au groupement d’entreprises.
Michel Mourot rappelait que depuis 2014, année qui l’a vu prendre la présidence du SI Epuration, ce sont quelques 10 millions d’Euros qui ont été investis. A la demande de Thierry Rigollet, une simulation sera faite afin de mesurer l’impact de ces travaux sur le prix du m3 facturé aux usagers.
Quelques autres points étaient également à l’ordre du jour de la réunion de ce dernier lundi, pour l’essentiel, aux connotations très administratives.
Michel Mourot rappelait que depuis 2014, année qui l’a vu prendre la présidence du SI Epuration, ce sont quelques 10 millions d’Euros qui ont été investis. A la demande de Thierry Rigollet, une simulation sera faite afin de mesurer l’impact de ces travaux sur le prix du m3 facturé aux usagers.
Quelques autres points étaient également à l’ordre du jour de la réunion de ce dernier lundi, pour l’essentiel, aux connotations très administratives.
Le comité syndical a notamment, et contre l’avis du centre de gestion, validé la possibilité pour la secrétaire Clotilde Solgady d’adopter le télétravail dans le cas de conditions spécifiques, notamment en relation avec la crise sanitaire actuelle.