BUSSANG
Associations : la mairie en quête d’équité et de
transparence
Réunis en visioconférence ce dernier samedi, quelques
responsables associatifs avaient répondus présents à l’invitation de la mairie
pour échanger sur la charte adoptée en conseil municipal et envoyée aux
associations.
Avant quitter temporairement la salle pour cause d’autres rendez-vous, Bachir Aïd avait tenu a préciser l’objet de cette réunion virtuelle : « Il s’agit de discuter de cette charte dans un climat serein ».
Les membres de la commission associations enchainaient : « Nous souhaitons avoir vos avis, vos remarques avec la possibilité de la modifier le cas échéant ».
Au centre des discussions, les demandes de subventions à la mairie ont tenu le haut du pavé durant de longs moments. Les dossiers de demandes de subvention devront être déposés au plus tard le 15 mars et feront l’objet d’un arbitrage qui aura à tenir compte de l’enveloppe globale qui sera inscrite au budget, bien évidemment, mais aussi de l’argumentaire fourni par les responsables associatifs. Quant aux demandes de subventions exceptionnelles, elles feront l’objet d’un dossier spécifique que l’association devra défendre devant les élus.
Ce sera notamment le cas du 100ème anniversaire du Club Vosgien qui, si les conditions sanitaires le permettent, sera célébré cette année. Gérard Mougenot s’en remettait à cette nouvelle pratique inscrite dans la charte sans aucune réticence, approuvant le principe sans réserve.
Josette Géhin, pour l’Harmonie Bussang-St Maurice abondait dans le même sens, relevant tout de même le cas de l’Ecole de Musique « Gage important de pérennisation de l’Harmonie ». La réponse des élus, dont celle de Bachir Aïd revenu pour quelques minutes devant la webcam, était sans ambiguïté : le cas de l’Ecole de Musique, tout comme celui du Théâtre du Peuple, sera examiné en dehors du pot commun associatif.
Avant quitter temporairement la salle pour cause d’autres rendez-vous, Bachir Aïd avait tenu a préciser l’objet de cette réunion virtuelle : « Il s’agit de discuter de cette charte dans un climat serein ».
Les membres de la commission associations enchainaient : « Nous souhaitons avoir vos avis, vos remarques avec la possibilité de la modifier le cas échéant ».
Au centre des discussions, les demandes de subventions à la mairie ont tenu le haut du pavé durant de longs moments. Les dossiers de demandes de subvention devront être déposés au plus tard le 15 mars et feront l’objet d’un arbitrage qui aura à tenir compte de l’enveloppe globale qui sera inscrite au budget, bien évidemment, mais aussi de l’argumentaire fourni par les responsables associatifs. Quant aux demandes de subventions exceptionnelles, elles feront l’objet d’un dossier spécifique que l’association devra défendre devant les élus.
Ce sera notamment le cas du 100ème anniversaire du Club Vosgien qui, si les conditions sanitaires le permettent, sera célébré cette année. Gérard Mougenot s’en remettait à cette nouvelle pratique inscrite dans la charte sans aucune réticence, approuvant le principe sans réserve.
Josette Géhin, pour l’Harmonie Bussang-St Maurice abondait dans le même sens, relevant tout de même le cas de l’Ecole de Musique « Gage important de pérennisation de l’Harmonie ». La réponse des élus, dont celle de Bachir Aïd revenu pour quelques minutes devant la webcam, était sans ambiguïté : le cas de l’Ecole de Musique, tout comme celui du Théâtre du Peuple, sera examiné en dehors du pot commun associatif.
Si le principe global de cette charte était donc largement
approuvé, restent les grandes incertitudes de la vie associative face à la
situation sanitaire. « Nous en sommes à quatre concerts annulés et donc
d’importantes recettes en moins » confiait la présidente de l’HBSM.
« Nous enregistrons une baisse des adhésions et nous avons notre
animatrice à payer » poursuivait Nelly Pierrel, responsable de la gym
féminine. Le tout dans un contexte morose, puisque le casino, suite à la
réduction de son activité en lien avec le covid-19, ne pourra verser son obole
habituelle.
« Il est à prévoir que le budget global aux associations soit revu à la baisse » confiaient les membres de la commission municipale. Jean-Baptiste Gehin, en charge des cordons de la bourse de l’HBSM questionnait : « Avant 2018, nous avions droit à une subvention de 1200 €. Elle est passée depuis à 500€. Peut-on espérer revenir à la situation d’avant 2018 ? » tout en commentant « A St Maurice, les subventions aux associations ont été reconduites».
Face à cette situation très inconfortable, plusieurs avis se sont rejoints sans une volonté de mener des actions collectives, afin d’augmenter la part d’autofinancement des structures associatives. Gérard Mougenot parlait de « Solidarité », terme que reprenait Vincent Decombis qui plaidait en outre « Il faut continuer à essayer de vivre ! » en proposant aux volontaires de rejoindre le pavillon du collectif « réseau d’Être ».
En guise de conclusion, il était convenu qu’une fois par an, les associations se mettraient toutes autour d’une table pour une réunion ouverte et conviviale, « Permettant de comprendre les problèmes des voisins » commentait Gérard Mougenot « Avec un bon café et une part de gâteau » souriait Josette Géhin.
La charte est téléchargeable ici
« Il est à prévoir que le budget global aux associations soit revu à la baisse » confiaient les membres de la commission municipale. Jean-Baptiste Gehin, en charge des cordons de la bourse de l’HBSM questionnait : « Avant 2018, nous avions droit à une subvention de 1200 €. Elle est passée depuis à 500€. Peut-on espérer revenir à la situation d’avant 2018 ? » tout en commentant « A St Maurice, les subventions aux associations ont été reconduites».
Face à cette situation très inconfortable, plusieurs avis se sont rejoints sans une volonté de mener des actions collectives, afin d’augmenter la part d’autofinancement des structures associatives. Gérard Mougenot parlait de « Solidarité », terme que reprenait Vincent Decombis qui plaidait en outre « Il faut continuer à essayer de vivre ! » en proposant aux volontaires de rejoindre le pavillon du collectif « réseau d’Être ».
En guise de conclusion, il était convenu qu’une fois par an, les associations se mettraient toutes autour d’une table pour une réunion ouverte et conviviale, « Permettant de comprendre les problèmes des voisins » commentait Gérard Mougenot « Avec un bon café et une part de gâteau » souriait Josette Géhin.
La charte est téléchargeable ici