HAUTE MOSELLE et au-delà !
Qui veut « popoter » ?
Un bœuf bourguignon, une potée lorraine ou, orientées plus
gastronomique, un porc aux groseilles ou encore quelques plats du monde :
ce sont quelques-unes des préparations qui figurent au menu de l’atelier de
cuisine que Fabienne est actuellement en train de cogiter, ou de faire mijoter
si vous préférez… Des mets qui viennent immanquablement
titiller l’esprit qui renvoie ensuite vers les papilles qui se mettent alors à
saliver d’envie. Réflexe pavlovien… qui met en exergue le pouvoir immanquablement
séducteur d’un bon plat, mitonné avec amour, au moment de passer à table, le
tout conjugué avec une dimension de relation sociale toujours appréciée, que ce
soit en famille ou avec des convives autour d’une belle tablée.
C’est cette passion de la cuisine qui l’anime depuis de longues années qui a poussé Fabienne la Guédonne – elle souhaite pour l’instant rester dans l’ombre – à larguer son ancien « taf » pour monter ce projet d’atelier culinaire. « J’ai toujours eu énormément de plaisir à cuisiner » avoue-t-elle « J’ai donc souhaité conjuguer cette passion avec l’exercice d’une activité professionnelle ».
Si la cuisine familiale est d’ores et déjà prévue dans le cadre de ces ateliers, Fabienne compte bien explorer des plats plus gastronomiques ainsi que des recettes issues des quatre coins du globe, notamment asiatique. La préparation sera bien évidemment au centre de l’activité, mais pas que… « J’adore mettre en valeur ces préparations, créer les décorations qui font qu’en plus d’être succulents, ces plats se doivent d’être beaux » détaille-t-elle enthousiaste « De plus, l’objectif est encore de favoriser l’achat de produits non industriels qui sont trop souvent trop salés, trop sucrés ou encore plein d’additifs. Faire ses plats soi-même, c’est à la fois plus économique, plus savoureux et bien meilleur à la santé ».
C’est cette passion de la cuisine qui l’anime depuis de longues années qui a poussé Fabienne la Guédonne – elle souhaite pour l’instant rester dans l’ombre – à larguer son ancien « taf » pour monter ce projet d’atelier culinaire. « J’ai toujours eu énormément de plaisir à cuisiner » avoue-t-elle « J’ai donc souhaité conjuguer cette passion avec l’exercice d’une activité professionnelle ».
Si la cuisine familiale est d’ores et déjà prévue dans le cadre de ces ateliers, Fabienne compte bien explorer des plats plus gastronomiques ainsi que des recettes issues des quatre coins du globe, notamment asiatique. La préparation sera bien évidemment au centre de l’activité, mais pas que… « J’adore mettre en valeur ces préparations, créer les décorations qui font qu’en plus d’être succulents, ces plats se doivent d’être beaux » détaille-t-elle enthousiaste « De plus, l’objectif est encore de favoriser l’achat de produits non industriels qui sont trop souvent trop salés, trop sucrés ou encore plein d’additifs. Faire ses plats soi-même, c’est à la fois plus économique, plus savoureux et bien meilleur à la santé ».
Enquête en ligne jusqu'au 14 février
C’est ainsi que depuis quelques jours, Fabienne a mis en ligne un questionnaire destinée à « tâter » le terrain.Les premiers retours sont très encourageants. « Ces ateliers, dont la forme reste à définir, se veulent conviviaux et détendus, aptes à créer des liens sympathiques » confie-t-elle « J’ai eu dans ce sens des entreprises qui sont partantes pour dynamiser leurs personnels ».
D’ailleurs, et pour répondre à d’autres demandes d’entreprises, le local qui sera affecté à cette activité et que Fabienne recherche actuellement – avis aux loueurs qui auraient une proposition à lui faire – pourra également être mis à disposition pour des séminaires d’entreprises ou autres ateliers. Fabienne envisage de plus d’organiser des soirées célibataires, rencontres autour des arts culinaires.
Les contours de ces ateliers restent donc encore à ce jour assez flous et très ouverts, afin de pouvoir prendre en considération les demandes du public intéressé, notamment les horaires, le lieu et le rythme de ces rencontres culinaires. « Je sais déjà que je limiterai le nombre de personnes par ateliers à 10 et qu’ils seront ouverts aux personnes issues des vallées de la Moselle et la Moselotte, ainsi qu’au secteur de Remiremont ».
En attendant la mise en place concrète de ce projet, Fabienne parfait ses connaissances dans le cadre d’une formation durant laquelle certaines séquences se font en visioconférence, pilotées par Norbert l’animateur de l’émission TV « Norbert – commis d’office ».
L’enquête reste ouverte jusqu’au 14 février : cliquez ici pour accéder à l'enquête
Les contours de ces ateliers restent donc encore à ce jour assez flous et très ouverts, afin de pouvoir prendre en considération les demandes du public intéressé, notamment les horaires, le lieu et le rythme de ces rencontres culinaires. « Je sais déjà que je limiterai le nombre de personnes par ateliers à 10 et qu’ils seront ouverts aux personnes issues des vallées de la Moselle et la Moselotte, ainsi qu’au secteur de Remiremont ».
En attendant la mise en place concrète de ce projet, Fabienne parfait ses connaissances dans le cadre d’une formation durant laquelle certaines séquences se font en visioconférence, pilotées par Norbert l’animateur de l’émission TV « Norbert – commis d’office ».
L’enquête reste ouverte jusqu’au 14 février : cliquez ici pour accéder à l'enquête