BUSSANG – St MAURICE/Mle
L’Harmonie en AG virtuelle
Malgré les conditions actuellement très compliquées, l’Harmonie Bussang – St Maurice a réussi à tenir son assemblée générale annuelle.
Une réunion en visioconférence, animée par Josette Gehin, la présidente qui, dès ses premiers mots et après avoir demandé une minute de recueillement à la mémoire des musiciens et amis disparus, évoquait un rapport d’activité minimaliste. Concert à succès le 5 janvier au Ménil, assemblée générale le 8 février et cette participation "à l’arrache" à la cérémonie du Steingraben, ajoutait « JB ».
La présidente saluait l’arrivée du petit Jules au foyer de Corinne Cornevaux et de Nellya chez Cindy Salquèbre avant de regretter le départ de la famille Bisval, privant l’Ecole de Musique des 4 élèves qui y étaient inscrits.
La présidente saluait l’arrivée du petit Jules au foyer de Corinne Cornevaux et de Nellya chez Cindy Salquèbre avant de regretter le départ de la famille Bisval, privant l’Ecole de Musique des 4 élèves qui y étaient inscrits.
« Malgré cela, l’effectif reste stable, mais nous avons dû bloquer les inscriptions suite à la baisse des subventions accordées par Bussang » détaillait-elle, tout en tenant à remercier les communes de leur aide, ainsi que les musiciens et Rémi Durr pour leur implication pour maintenir un minimum de relation.
C’était ensuite à Jean-Baptiste Gehin – « JB » le trésorier de détailler en long, en large et en travers les comptes de l’Harmonie, de l’Ecole de Musique et présenter les prévisions budgétaires pour 2021. « Je suis un grand utopiste » se marrait-il « J’ai fait comme si cette année, le virus allait disparaître ! ».
Rémi Durr, le directeur y allait de son analyse de la situation : « 20 répétitions seulement à cause des confinements : c’est peu. Le musicien est un peu comme un sportif : s’il ne s’entretient pas, il perd une partie de ses facultés et doit reprendre un entrainement progressif pour retrouver son niveau ».
C’était ensuite à Jean-Baptiste Gehin – « JB » le trésorier de détailler en long, en large et en travers les comptes de l’Harmonie, de l’Ecole de Musique et présenter les prévisions budgétaires pour 2021. « Je suis un grand utopiste » se marrait-il « J’ai fait comme si cette année, le virus allait disparaître ! ».
Rémi Durr, le directeur y allait de son analyse de la situation : « 20 répétitions seulement à cause des confinements : c’est peu. Le musicien est un peu comme un sportif : s’il ne s’entretient pas, il perd une partie de ses facultés et doit reprendre un entrainement progressif pour retrouver son niveau ».
Le chef annonçait avoir d’ores et déjà fait une croix sur le concert de Printemps. « Une annulation de plus pour ce concert sur le thème du cinéma… » regrettait-il.
Jean–Claude Thomas en retrait
« Nous allons désormais, quand ce sera possible, changer de partitions" ajoutait-il "Dont quelques-unes nouvelles afin de présenter des prestations très rythmées, joyeuses afin de rompre avec la sinistrose et donner du plaisir à nos publics ».
Le directeur annonçait encore une vaste campagne de recrutement en septembre prochain et concluait sur une mention de remerciement toute particulière à Patrick pour son implication et son aide précieuse à de nombreux niveaux, dont la remise en état de l’ancienne batterie « Avec le concours précieux de Bussang Poids Lourds pour la peinture » ajoutait Alexandra Peduzzi.
Les élections au conseil d’administration permettaient de confirmer Alexandra ¨Peduzzi et « JB » à leurs postes, tandis que 2 nouveaux faisaient leur entrée : Eric Prigent, élève saxo de l’EMT et Florian Peduzzi qui retrouvait un siège au sein de l’instance dirigeante de l’HBSM.
Avant de conclure cette réunion virtuelle, la présidente donnait la parole aux représentantes des communes. Danièle Schmerber, après avoir souligné l’importance pour un village d’avoir une harmonie, faisait part de son espoir « De vite oublier cette période covid et retrouver de nouveau les musiciens dans les rues » avant de conclure « La commune reste à vos côtés ». De son côté, Pascale Spinnhirny commentait la baisse des subventions « On fera le maximum et on espère des jours meilleurs »