LE THILLOT
L’ancienne usine Georges appelée à disparaitre ?
Rien n’est fait, loin s’en faut. Mais il n’empêche que des
« choses » sont dans les tuyaux. Témoin ce dossier déjà très détaillé
daté du 15 février dernier, qui a été envoyé par la direction régionale
nancéenne de LIDL basée à Gondreville, à la DREAL (Direction Régionale de
l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement) Grand Est afin de l’examiner
et, le cas échéant, le valider. Il est question d’un projet de construction d’un
établissement commercial de 990 m2, associé à un parking de 115 places au n° 33
de la rue Jules Ferry.
Pour cette implantation, la direction de l’immobilier de l’enseigne allemande de hard-discount, prévoit la destruction des anciens bâtiments textiles Georges d’une surface de 2 363m2 afin de libérer la totalité de l’espace de 11 722 m2 pour y construire le nouveau bâtiment commercial. Des travaux dont la durée est évaluée à vingt semaines, qui intègrent de plus un parking en gazon perméable et quelques 6000 m2 d’espaces verts.
Dans les locaux de l’ancienne usine textile, où est implanté le magasin de tissus, draps et autres produits textiles et brocante, et qui offre des emplacements garages longue-durée pour camping-cars, Hughes Georges se veut prudent : « Certes, il y a eu des contacts, mais rien n’est signé et donc rien n’est fait » commente-t-il « Pour l’instant, la vie continue ! » et de conclure « Qui vivra verra ».
Pour cette implantation, la direction de l’immobilier de l’enseigne allemande de hard-discount, prévoit la destruction des anciens bâtiments textiles Georges d’une surface de 2 363m2 afin de libérer la totalité de l’espace de 11 722 m2 pour y construire le nouveau bâtiment commercial. Des travaux dont la durée est évaluée à vingt semaines, qui intègrent de plus un parking en gazon perméable et quelques 6000 m2 d’espaces verts.
Dans les locaux de l’ancienne usine textile, où est implanté le magasin de tissus, draps et autres produits textiles et brocante, et qui offre des emplacements garages longue-durée pour camping-cars, Hughes Georges se veut prudent : « Certes, il y a eu des contacts, mais rien n’est signé et donc rien n’est fait » commente-t-il « Pour l’instant, la vie continue ! » et de conclure « Qui vivra verra ».