LE MENIL
Gros week-end pour les pêcheurs
Mobilisés ce samedi pour nettoyer les bordures de ruisseaux
et notamment les lieux de fraye, les pêcheurs étaient invités le lendemain à
rejoindre le chalet « Tutur » afin d’y prendre leurs cartes.
A l’AAPPMA, on sait prendre soin des environnements permettant de tremper le fil. Ce samedi, les équipes de la société de pêche ont procédé au nettoyage d’endroit particulièrement propices à la reproduction des truites. « Mais pas question de marcher dans l’eau » expliquait François Choffel en se démenant quelques fois avec son imprimante à laquelle il s’adressait de temps à autres avec des noms d’oiseaux bien choisis dès que l’appareil n’obéissait pas à la lettre à ses commandes. Il poursuivait « Les œufs sont sous les graviers dans le lit de la rivière et, si on marche dans l’eau, on les écrase ou on les détache, si bien qu’ils dérivent au gré du courant ». Dans cet objectif de protection de la faune aquatique, les pêcheurs guédons vont plus loin encore. C’est Alain qui expliquait en posant sur sa main une petite boite parsemée de multiples petits trous « Nous achetons des œufs et nous en mettons environ 200 par boite, avant de les déposer dans la rivière en des lieux favorables à leur éclosion. Et comme les truites reviennent frayer à l’endroit où elles sont nées, cela participe au repeuplement naturel ». Résultat : l’AAPPMA du Ménil consacre moins de trésorerie en minimisant les alevinages.
A l’AAPPMA, on sait prendre soin des environnements permettant de tremper le fil. Ce samedi, les équipes de la société de pêche ont procédé au nettoyage d’endroit particulièrement propices à la reproduction des truites. « Mais pas question de marcher dans l’eau » expliquait François Choffel en se démenant quelques fois avec son imprimante à laquelle il s’adressait de temps à autres avec des noms d’oiseaux bien choisis dès que l’appareil n’obéissait pas à la lettre à ses commandes. Il poursuivait « Les œufs sont sous les graviers dans le lit de la rivière et, si on marche dans l’eau, on les écrase ou on les détache, si bien qu’ils dérivent au gré du courant ». Dans cet objectif de protection de la faune aquatique, les pêcheurs guédons vont plus loin encore. C’est Alain qui expliquait en posant sur sa main une petite boite parsemée de multiples petits trous « Nous achetons des œufs et nous en mettons environ 200 par boite, avant de les déposer dans la rivière en des lieux favorables à leur éclosion. Et comme les truites reviennent frayer à l’endroit où elles sont nées, cela participe au repeuplement naturel ». Résultat : l’AAPPMA du Ménil consacre moins de trésorerie en minimisant les alevinages.
Nettoyage à l'étang des Fenesses le 5 juin
De l’argent, il en est cependant bien rentré dans les caisses ce dimanche, même si part non négligeable part à la « fédé ».
Le chalet « Tutur » qui fête cette dignement ses 10 années et qui porte le nom de celui qui en a été l’’instigateur, a vu passer beaucoup de monde ce dimanche matin pour la séance de vente de cartes.
Et si le « 4 pots » a délivré une chaleur confortable pour accueillir les pêcheurs, les rayons du soleil ont eu vite fait de compléter, puis remplacer la chaleur du fourneau.
Le dicton du jour laissait donc présager de beaux jours à venir : « A la St Damien, L'hiver reprend ou s'éteint ».
Calé devant son ordinateur connecté à internet via son téléphone portable, le président a ainsi pu enregistrer les adhésions des adeptes de St Pierre.
Des membres qui ont été choyés « aux p’tits oignons », accueillis par un café accompagné des beignets de Carnaval parfumés à la fleur d’oranger ou au rhum, concoctés par Alain.
Avant que chacun regagne ses « pénates », le président a appelé les adhérents à se mobiliser une nouvelle fois le samedi 5 juin prochain pour le nettoyage de l’étang des Fenesses, veille de la date programmée de la fête de la pêche « Si les conditions sanitaires la permettent ! » s’empressait-il d’ajouter.