LE THILLOT – FRESSE SUR MOSELLE
Ferme de la Chapelle des
Vés : la vente continue, à la ferme
Depuis le début de cette année, l’emplacement situé à proximité de la pharmacie de la Poste, traditionnellement occupé les samedis matins par le stand de vente de fromages de la ferme de la Chapelle des Vés est vide.
« Nous avons quelques problèmes de personnels et, en attendant de trouver quelqu’un, mon épouse Justine va être embauchée à mi-temps » explique Frédéric Valdenaire « Mais la production de nos fromages ainsi que la vente continuent à la ferme ». Le « boss » de l’exploitation ajoute « C’est pour le public une belle l’occasion de visiter également notre ferme puisque les portes sont grandes ouvertes et que nous essayons dans la mesure du possible d’accompagner ces visites, même si ce n'est pas toujours possible ».
« Nous avons quelques problèmes de personnels et, en attendant de trouver quelqu’un, mon épouse Justine va être embauchée à mi-temps » explique Frédéric Valdenaire « Mais la production de nos fromages ainsi que la vente continuent à la ferme ». Le « boss » de l’exploitation ajoute « C’est pour le public une belle l’occasion de visiter également notre ferme puisque les portes sont grandes ouvertes et que nous essayons dans la mesure du possible d’accompagner ces visites, même si ce n'est pas toujours possible ».
L’opportunité est donc belle de plonger au coeur de l’établissement créé par Bernard et Alice Marchal en 1962, repris par leur fils Christian en 1984 et l’arrivée de Frédéric en 2006 au sein du GAEC. En 2015, Frédéric reprend seul les rênes de l’exploitation qui devient l‘EARL de la Chapelle des Vés.
Aujourd’hui, l’exploitation repose sur une trentaine de vaches laitières « Exclusivement de race vosgienne ! » précise celui qui est aussi vice-président de l’Association de la race Vosgienne au niveau départemental « Nous transformons la totalité des les 400 litres de lait quotidiens en fromage ».
Aujourd’hui, l’exploitation repose sur une trentaine de vaches laitières « Exclusivement de race vosgienne ! » précise celui qui est aussi vice-président de l’Association de la race Vosgienne au niveau départemental « Nous transformons la totalité des les 400 litres de lait quotidiens en fromage ».
Ou plutôt en fromageS, au pluriel, car la production est déclinée en munster fermier, bien évidemment, mais aussi en barkass nature ou parfumé au cumin, à l’ail des ours, à une dizaine de saveurs du jardin ou encore au fenugrec, donnant au fromage un délicieux goût de noix. « Nous produisons également le Cœur de Massif, un fromage plus fruité qui est affiné plus longtemps » précise Anicet Parmentier, salarié de l’exploitation depuis trois ans, chargé de la transformation et de la vente « Nous avons également à disposition quelques fromages de chèvre et du miel en provenance de productions extérieures » complète-t-il en montrant les produits dans la vitrine réfrigérée du magasin.
Revêtu du grand tablier protecteur et de bottes blanches, le jeune ouvrier confie encore « Nous sommes ouverts tous les jours de 9h à 12h et de 16h30 à 19h avec, en cette période couvre-feu, une fermeture à 18h ».
Dans l’étable, où les visiteurs flânent tranquillement dans les allées chargées de fourrage dont profitent les vaches, Frédéric, qui est également conseiller municipal à la commune de Fresse sur Moselle, se veut disponible pour répondre aux questions, notamment celles des enfants qui découvrent avec avidité un milieu qu’ils n’ont pas l’habitude de fréquenter. « Les vaches sont à l’étable depuis le mois de novembre et, oui, elles sont pressées de ressortir ! ».
Revêtu du grand tablier protecteur et de bottes blanches, le jeune ouvrier confie encore « Nous sommes ouverts tous les jours de 9h à 12h et de 16h30 à 19h avec, en cette période couvre-feu, une fermeture à 18h ».
Dans l’étable, où les visiteurs flânent tranquillement dans les allées chargées de fourrage dont profitent les vaches, Frédéric, qui est également conseiller municipal à la commune de Fresse sur Moselle, se veut disponible pour répondre aux questions, notamment celles des enfants qui découvrent avec avidité un milieu qu’ils n’ont pas l’habitude de fréquenter. « Les vaches sont à l’étable depuis le mois de novembre et, oui, elles sont pressées de ressortir ! ».