BALLON D’ALSACE
Acro-park : nouveaux propriétaires, nouvel élan !
Acro-park : nouveaux propriétaires, nouvel élan !
L’Acro-park du Ballon d’Alsace, installé en pleine nature à
quelques encablures du sommet, à la croisée de plusieurs départements, a changé
de « boss » en décembre dernier. Créé en 2003 par Patrick Jacquemin,
le parc de loisirs est désormais géré par Jonathan Tabey, originaire de St
Maurice/Mle, actuellement domicilié à Ferdrupt, mais qui caresse l’espoir de
revenir prochainement dans sa commune natale. Pour mener à bien ce projet de
reprise, Jonathan s’est assuré la complicité administrative d’un pote de longue
date : Julian Morel, originaire de Travexin, aujourd’hui parisien pour
satisfaire à ses obligations professionnelles.
« Ce parc, je le connais par cœur, puisque j’y ai bossé plus de dix saisons durant les congés scolaires quand j’étais à la Haie Griselle et après » confie Jonathan « Et l’ancien propriétaire était plus que mon patron : c’est un très bon ami de ma famille qui, approchant de la retraite, a souhaité que je prenne le relais ». Une passation de pouvoir qui est dans les tuyaux depuis 5 ans maintenant et qui a donc eu tout le temps de permettre une réflexion en profondeur avec, au final un « oui » enthousiaste.
« Etant notamment chargé de l’entretien des agrès, je sais qu’ils sont en parfait état » se réjouit Jonathan « La base est donc solide ». Pour autant, les deux jeunes entrepreneurs – ils ont tous deux 29 ans – fourmillent d’idées pour faire évoluer le parc. « Nous avons décidé notamment de revoir la communication, la signalétique sur le parc, des modes de paiement plus ouverts avec, entre autres, réservation en ligne et nous avons choisi de mettre en place un système de bracelets à l’entrée qui simplifiera grandement l’accueil du public et la gestion par l’encadrement. Nous mettons également en place des journées à thème ainsi que des formules enterrement de vie de jeune fille ou de jeune garçon » détaille-t-il « Mais nous avons également des projets concernant les parcours ».
« Ce parc, je le connais par cœur, puisque j’y ai bossé plus de dix saisons durant les congés scolaires quand j’étais à la Haie Griselle et après » confie Jonathan « Et l’ancien propriétaire était plus que mon patron : c’est un très bon ami de ma famille qui, approchant de la retraite, a souhaité que je prenne le relais ». Une passation de pouvoir qui est dans les tuyaux depuis 5 ans maintenant et qui a donc eu tout le temps de permettre une réflexion en profondeur avec, au final un « oui » enthousiaste.
« Etant notamment chargé de l’entretien des agrès, je sais qu’ils sont en parfait état » se réjouit Jonathan « La base est donc solide ». Pour autant, les deux jeunes entrepreneurs – ils ont tous deux 29 ans – fourmillent d’idées pour faire évoluer le parc. « Nous avons décidé notamment de revoir la communication, la signalétique sur le parc, des modes de paiement plus ouverts avec, entre autres, réservation en ligne et nous avons choisi de mettre en place un système de bracelets à l’entrée qui simplifiera grandement l’accueil du public et la gestion par l’encadrement. Nous mettons également en place des journées à thème ainsi que des formules enterrement de vie de jeune fille ou de jeune garçon » détaille-t-il « Mais nous avons également des projets concernant les parcours ».
Si les parcours « Pandas » pour enfants âgés de 3 ans et plus, ainsi que le « Gorilles » réservé aux plus de 1.30m donnent pleine satisfaction, de même que le snack et ne verront aucun changement hormis une adaptation tarifaire, la prochaine saison verra une première nouveauté. « Un espace Défis avec slackline, tyrolienne, échelle de cirque. De même, nous travaillons à revoir le parcours des Acrobulles, de façon à générer davantage de sensations et en revoyant le tarif à la baisse ». Et puis, il y a un autre gros morceau dans les tuyaux, mais Jonathan entretient le suspense avec un sens aigu de la com, juste ce qu’il faut pour attiser la curiosité : « Il s’agit de découverte du secteur du Ballon d’Alsace via une expérience sportive… ».
Cette reprise du parc va également permettre à Jonathan de concrétiser un rêve de gamin : devenir moniteur de ski. « C’est la raison pour laquelle j’ai choisi de passer par la Haie Griselle à Gérardmer, là où j’ai pu découvrir et apprécier Julian qui y était également » avoue-t-il « Aujourd’hui, je poursuis ma formation qui est déjà bien avancée, avec le projet de reprendre la direction de l’Ecole de Ski Français du Rouge Gazon, puisque j’ai été sollicité par les « anciens » qui attendent mon arrivée ». L’hiver au ski, le reste du temps à l’Acro-park : Jonathan a parfaitement maîtrisé sa trajectoire professionnelle qu’il voulait résolument orientée vers le sport. Maintenant, y’a plus qu’à…
L’Acro-park ouvrira ses portes le 3 avril prochain, à l’occasion du week-end de Pâques « Dans le respect du protocole sanitaire, bien évidemment» précise Jonathan qui croise les doigts pour que cette ouverture, actuellement en bonne voie, soit une pleine réalité.
Pour suivre l’actualité du parc :
Cette reprise du parc va également permettre à Jonathan de concrétiser un rêve de gamin : devenir moniteur de ski. « C’est la raison pour laquelle j’ai choisi de passer par la Haie Griselle à Gérardmer, là où j’ai pu découvrir et apprécier Julian qui y était également » avoue-t-il « Aujourd’hui, je poursuis ma formation qui est déjà bien avancée, avec le projet de reprendre la direction de l’Ecole de Ski Français du Rouge Gazon, puisque j’ai été sollicité par les « anciens » qui attendent mon arrivée ». L’hiver au ski, le reste du temps à l’Acro-park : Jonathan a parfaitement maîtrisé sa trajectoire professionnelle qu’il voulait résolument orientée vers le sport. Maintenant, y’a plus qu’à…
L’Acro-park ouvrira ses portes le 3 avril prochain, à l’occasion du week-end de Pâques « Dans le respect du protocole sanitaire, bien évidemment» précise Jonathan qui croise les doigts pour que cette ouverture, actuellement en bonne voie, soit une pleine réalité.
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