LE THILLOT
Visite du préfet : derniers échos
Friches
industrielles : alors qu’il présentait le projet de destruction de
l’ancienne usine Georges pour y développer le projet d’un nouveau Lidl, le
premier magistrat évoquait le dossier de l’Indykart à l’ancienne graniterie
Adami au Prey et puis ces bâtiments à l’abandon aux tanneries pour lesquels une
étude a été décidée par le conseil municipal pour une réhabilitation.
Pompiers : à la caserne des pompiers, Dominique Peduzzi expliquait le choix stratégique du lieu d’implantation du centre de secours, faisant notamment référence aux commodités d’arrivée des pompiers à la caserne et au déplacement rapide des véhicules d’intervention qui peuvent se rendre quasiment partout dans la haute vallée sans emprunter la RN66 quelques fois congestionnée par la circulation. Les discussions ont permis d’aborder le problème des nombreux poids lourds empruntant la RN66 et qu’il conviendrait de limiter.
Mynes : la page d’histoire développée par Sébastien George a fortement intéressé le préfet qui, dès son arrivée au musée questionnait : « Pourquoi Mynes avec un « y » ? ». Le directeur expliquait que cette orthographe était liée à la calligraphie de l’époque qui faisait que les « m » étaient matérialisés par 3 bâtons successifs et que le « i » en aurait un 4ème, puisqu’il n’était pas question d’y mettre un point sous peine de faire un « pâté ». La succession de 4 bâtons étant compliquée à lire, le « i » s’est ainsi transformé en « y » pour faciliter la lecture et donc la compréhension.
Pompiers : à la caserne des pompiers, Dominique Peduzzi expliquait le choix stratégique du lieu d’implantation du centre de secours, faisant notamment référence aux commodités d’arrivée des pompiers à la caserne et au déplacement rapide des véhicules d’intervention qui peuvent se rendre quasiment partout dans la haute vallée sans emprunter la RN66 quelques fois congestionnée par la circulation. Les discussions ont permis d’aborder le problème des nombreux poids lourds empruntant la RN66 et qu’il conviendrait de limiter.
Mynes : la page d’histoire développée par Sébastien George a fortement intéressé le préfet qui, dès son arrivée au musée questionnait : « Pourquoi Mynes avec un « y » ? ». Le directeur expliquait que cette orthographe était liée à la calligraphie de l’époque qui faisait que les « m » étaient matérialisés par 3 bâtons successifs et que le « i » en aurait un 4ème, puisqu’il n’était pas question d’y mettre un point sous peine de faire un « pâté ». La succession de 4 bâtons étant compliquée à lire, le « i » s’est ainsi transformé en « y » pour faciliter la lecture et donc la compréhension.
Chiffres : en introduction de la visite d’Yves Séguy, Michel Mourot a livré quelques chiffres concernant la commune qu’il dirige : 3 454 habitants, 1000 emplois perdus en 10 ans, victimes de la crise du textile, 61 employés communaux, surface 1 500 ha dont 500 ha de forêts dont 65 ha ont été coupés victime du scolyte, 52 associations, 116 commerçants et artisans, 50 000 passages des 1500 adhérents de la médiathèque dont 32% de Thillotins, 22 000 visiteurs par an au Musée des Hautes Mynes, avec un classement à venir « Musée de France ». Au plan des finances, la commune a investi 6 millions d’Euros en 6 ans, avec 1 million de trésorerie, 1.3 million de désendettement et 1.25 million de dettes, auxquels il ajouté les 9 millions d’Euros d'investissements au titre du SI Epuration qu’il préside.
Confusion : Dominique Peduzzi évoquait cette confusion qui fait que certains courriers arrivent à la CCBHV qu’il préside alors qu’ils concernent une autre comcom intégrant la mention Hautes Vosges dans sa dénomination. « Quelques fois des factures » précisait-il avant d’ajouter avec humour « Cela ne poserait aucun problème s’il s’agissait de subventions ! ».
Population : Michel Mourot précisait que la commune compte 650 personnes de 70 ans.
Centre de vaccination : une demande a été déposée afin de poursuivre la campagne de vaccination en juillet – août a été faite, mais se heurte à un problème de disponibilité des personnels médicaux et paramédicaux.
Confusion : Dominique Peduzzi évoquait cette confusion qui fait que certains courriers arrivent à la CCBHV qu’il préside alors qu’ils concernent une autre comcom intégrant la mention Hautes Vosges dans sa dénomination. « Quelques fois des factures » précisait-il avant d’ajouter avec humour « Cela ne poserait aucun problème s’il s’agissait de subventions ! ».
Population : Michel Mourot précisait que la commune compte 650 personnes de 70 ans.
Centre de vaccination : une demande a été déposée afin de poursuivre la campagne de vaccination en juillet – août a été faite, mais se heurte à un problème de disponibilité des personnels médicaux et paramédicaux.