LE THILLOT
Les pêcheurs entre réciprocité et pollution
Les pêcheurs thillotins tenaient ce samedi leur assemblée générale. La réciprocité a produit des effets positifs sur le nombre de cartes vendue. La pollution de l’étang de Chaume reste un mystère.
En l’absence du président, c’est
le duo Marc Buraschi – Pierre Dabrinvile qui a conduit les débats
à l’occasion de l’assemblée générale de l’AAPPMA
(Association
Agréée de Pêche et
de Protection des Milieux Aquatiques).
Le vice-président débutait la séance par une minute de silence à la mémoire de « Roro », Rodolphe Munger, auquel le trésorier ajoutait Michel Creusot.
Concernant la rivière, Marc Buraschi, malgré le manque d’eau cet été, se félicitait de la vente de 97 cartes l’an dernier, contre 79 l’année précédente. « Grâce à la réciprocité » analysait-il « Nous avons adhéré à l’URN – Union Réciprocitaire Nationale – qui permet maintenant avec une seule carte de pêcher un peu partout en France ». A noter que l’étang de Chaume n’est pas concerné, de même que les communes de la vallée située en aval du Thillot.
Les débats portaient ensuite sur la pollution qui a été constatée en février dernier à l’étang de Chaume. Une pollution qui a touché la seule population de carassins et dont les origines restent indéterminées, même si des pistes ont été avancées : accumulation néfaste de pain lancé aux canards – la pose de panneau d’interdiction a permis d’inverser la tendance, malgré le fait que tous les panneaux sauf un aient été saccagés… - traces d’hydrocarbures, travaux dans le quartier à cette époque, et puis celle qui semble la plus crédible : la chaleur qui a régné durant ce mois de février 2019, favorisant la prolifération d’une algue tueuse.
Le vice-président débutait la séance par une minute de silence à la mémoire de « Roro », Rodolphe Munger, auquel le trésorier ajoutait Michel Creusot.
Concernant la rivière, Marc Buraschi, malgré le manque d’eau cet été, se félicitait de la vente de 97 cartes l’an dernier, contre 79 l’année précédente. « Grâce à la réciprocité » analysait-il « Nous avons adhéré à l’URN – Union Réciprocitaire Nationale – qui permet maintenant avec une seule carte de pêcher un peu partout en France ». A noter que l’étang de Chaume n’est pas concerné, de même que les communes de la vallée située en aval du Thillot.
Les débats portaient ensuite sur la pollution qui a été constatée en février dernier à l’étang de Chaume. Une pollution qui a touché la seule population de carassins et dont les origines restent indéterminées, même si des pistes ont été avancées : accumulation néfaste de pain lancé aux canards – la pose de panneau d’interdiction a permis d’inverser la tendance, malgré le fait que tous les panneaux sauf un aient été saccagés… - traces d’hydrocarbures, travaux dans le quartier à cette époque, et puis celle qui semble la plus crédible : la chaleur qui a régné durant ce mois de février 2019, favorisant la prolifération d’une algue tueuse.
Trois
femmes dans l’effectif
Les tarifs des cartes ont été adoptés qui seront vendues par internet ou au garage du Centre pour la rivière et au bar l’Embuscade pour l’étang de Chaume.
Les élections au conseil d’administration ont permis l’arrivée de cinq nouveaux membres : Jean-Claude Kuhn, Daniel Henny, Mathieu Gringer, Stéphane Hoffarth (voir photo) et Stéphane Souvay, absent et excusé. Du sang neuf en prévision des élections programmées en fin d’année. A propos de ces élections, Pierre Dabrinville tendait la perche à Maggy Louis, l’une des trois femmes que compte l’effectif de l’association, qui déclinait poliment l’invitation « Pas le temps… ».
En sujets divers, l’assemblée s’est penchée sur l’introduction d’ombres, présents à quelques centaines de mètres en aval des rivières de la commune et de carpes koï à l’étang de Chaume. Il a également été question de cette étude en cours qui semble vouloir supprimer les vannes et barrages. Les noms d’oiseaux ont fusé dans les commentaires portant sur le sujet, avant que Jean-Marie Chivot rappelle qu’il s’agit pour l’instant d’une étude et qu’aucune décision n’est prise.
Avant de lever la séance et passer au verre de l’amitié, Pierre Dabrinville s’adressait à l’adjoint au maire pour remercier la municipalité qui, durant ses six années, a été à l’écoute, permettant de travailler en bonne entente.
Les tarifs des cartes ont été adoptés qui seront vendues par internet ou au garage du Centre pour la rivière et au bar l’Embuscade pour l’étang de Chaume.
Les élections au conseil d’administration ont permis l’arrivée de cinq nouveaux membres : Jean-Claude Kuhn, Daniel Henny, Mathieu Gringer, Stéphane Hoffarth (voir photo) et Stéphane Souvay, absent et excusé. Du sang neuf en prévision des élections programmées en fin d’année. A propos de ces élections, Pierre Dabrinville tendait la perche à Maggy Louis, l’une des trois femmes que compte l’effectif de l’association, qui déclinait poliment l’invitation « Pas le temps… ».
En sujets divers, l’assemblée s’est penchée sur l’introduction d’ombres, présents à quelques centaines de mètres en aval des rivières de la commune et de carpes koï à l’étang de Chaume. Il a également été question de cette étude en cours qui semble vouloir supprimer les vannes et barrages. Les noms d’oiseaux ont fusé dans les commentaires portant sur le sujet, avant que Jean-Marie Chivot rappelle qu’il s’agit pour l’instant d’une étude et qu’aucune décision n’est prise.
Avant de lever la séance et passer au verre de l’amitié, Pierre Dabrinville s’adressait à l’adjoint au maire pour remercier la municipalité qui, durant ses six années, a été à l’écoute, permettant de travailler en bonne entente.