LE THILLOT
Marie Machi, adjointe à la
communication et aux manifestations
Même si son état civil précise que
son prénom est Marie-Noëlle – « C’est parce que je suis
née un 24 décembre » précise-t-elle en souriant – elle est
connue comme Marie Machi. Désormais adjointe au sein du nouveau
conseil municipal, elle n’est plus tout à fait une novice.
Si sa première expérience, à l’origine de laquelle se trouve la sollicitation de Pierre Délléa, a été nulle puisque non retenue par le vote des Thillotins, le dernier mandat qu’elle a vécu sous la conduite de Michel Mourot lui a beaucoup apporté. « J’ai appris plein de trucs qu’il est impossible de savoir si on n’est pas dedans, notamment au niveau des finances communales » confesse-t-elle « Ça a été une grande découverte pour moi ». Impliquée en de nombreuses occasions, notamment les repas des Anciens, la Nuit de la Myne et les pots d’accueil des touristes, elle a pu se rendre compte que la solidarité au sein de l’équipe municipale n’était pas un vain mot.
A cela s’ajoute son implication associative qui lui a fait rejoindre les rangs d’Anim’Thillot dès sa création après avoir vu disparaître l’Association Familiale de John Breinlen au sein de laquelle elle avait décidé de militer.
Si sa première expérience, à l’origine de laquelle se trouve la sollicitation de Pierre Délléa, a été nulle puisque non retenue par le vote des Thillotins, le dernier mandat qu’elle a vécu sous la conduite de Michel Mourot lui a beaucoup apporté. « J’ai appris plein de trucs qu’il est impossible de savoir si on n’est pas dedans, notamment au niveau des finances communales » confesse-t-elle « Ça a été une grande découverte pour moi ». Impliquée en de nombreuses occasions, notamment les repas des Anciens, la Nuit de la Myne et les pots d’accueil des touristes, elle a pu se rendre compte que la solidarité au sein de l’équipe municipale n’était pas un vain mot.
A cela s’ajoute son implication associative qui lui a fait rejoindre les rangs d’Anim’Thillot dès sa création après avoir vu disparaître l’Association Familiale de John Breinlen au sein de laquelle elle avait décidé de militer.
Sans oublier bien
évidemment son activité professionnelle : elle exerce comme
leader qualité dans une entreprise de plasturgie à Corravillers.
Aujourd’hui adjointe à la communication et aux manifestations, elle connait une nouvelle phase d’apprentissage. « Je travaille beaucoup avec Francis Panot » détaille-t-elle « Dans un premier temps, il s’agit de consolider l’existant avant de mettre en place d’éventuels nouveaux projets ».
La situation sanitaire actuelle est un frein énorme à la préparation de nombreux rendez-vous comme les Jeudis en Fête ou encore la soirée du 15 août à l’étang de Chaume. « Nous verrons tout cela en fonction de l’évolution de la crise liée au coronavirus. Je veux rester optimiste ! » déclare-t-elle confiante.
Quant à la partie communication, là encore, le temps est à la découverte des outils disponibles, notamment le bulletin municipal et le site internet. Largement de quoi occuper le temps important qu’elle passe dans le bureau qu’elle partage avec « Nanou » Demange à la mairie.
Aujourd’hui adjointe à la communication et aux manifestations, elle connait une nouvelle phase d’apprentissage. « Je travaille beaucoup avec Francis Panot » détaille-t-elle « Dans un premier temps, il s’agit de consolider l’existant avant de mettre en place d’éventuels nouveaux projets ».
La situation sanitaire actuelle est un frein énorme à la préparation de nombreux rendez-vous comme les Jeudis en Fête ou encore la soirée du 15 août à l’étang de Chaume. « Nous verrons tout cela en fonction de l’évolution de la crise liée au coronavirus. Je veux rester optimiste ! » déclare-t-elle confiante.
Quant à la partie communication, là encore, le temps est à la découverte des outils disponibles, notamment le bulletin municipal et le site internet. Largement de quoi occuper le temps important qu’elle passe dans le bureau qu’elle partage avec « Nanou » Demange à la mairie.