2020_08_07 Ferdrupt La Camarelle aux Planesses - le-thillot.com : l'actualité gratuite du Thillot et Environs

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FERDRUPT

Soirée de fête aux Planesses
L’histoire est particulièrement sympathique et témoigne de l’ambiance qui règne en permanence au Domaine des Planesses. Muriel était en vacances dans l’une des yourtes du Domaine. Un séjour très nature qui prenait fin ce mardi. Avant de quitter son lieu de villégiature, elle a dans un premier sollicité Nicolas et Stéphanie afin de « faire un peu de musique » pour sa dernière soirée. « Pas de problème dans la mesure où cela ne gêne en rien les autres vacanciers ! » lui ont répondu les jeunes « boss ». Quelques heures plus tard, Muriel revenait voir le couple de gérants des Planesses pour tout bonnement proposer un concert pour tous. C’est avec grand enthousiasme que Nicolas et Stéphanie ont répondu favorablement. Du coup, la flûtiste spinalienne a rassemblé ses potes du groupe « La Camerelle » pour offrir au public un grand moment de joie débridée. Des airs traditionnels issus des quatre coins de France ont ainsi résonné dans toute la nature environnante au son des instruments très variés. De l’épinette à l’accordéon diatonique, en passant par l’harmonica, la vielle à roue, le psaltérion, la bombarde ou encore le dulcimer et toute une panoplie de flûte, le panel des sonorités était donc très riche.
Tardivement dans la nuit...
Des visites musicales qui ne manquaient pas de faire monter des fourmis dans les jambes de certains qui se sont emparé de l’espace pour accomplir quelques pas de danses tout aussi traditionnelles que les mélodies les supportant. Le tout agrémenté de commentaires divers et variés, comme cette explication du nom « Camerelle » dont a été baptisé le groupe : « Une vieille valse spinalienne » ou encore « Cette guinguette ayant existé il y a quelques décennies à Chantraine ». Quelques moments d’humour quelques fois déjanté ont émaillé la soirée,  comme ces incantations d’un membre du groupe musical pour repousser l’arrivée des nuages et de la pluie. Mais rien n’y a fait : vers 22 heures, les conditions météo se sont gâtées, précipitant le départ du plus gros du public au sein duquel Etienne Colin et son épouse avaient pris préalablement place. Pour autant, les musiciens n’ont pas voulu mettre fin à ce moment de joie partagée et, après avoir pris place à l’abri des tumultes météo, se sont installés à l’intérieur pour prolonger cette page plaisir jusque bien tardivement dans la nuit…
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