LE THILLOT
Premiers essais sur route pour l’Alpine
RGT de Guy Bertrand
Guy Bertrand vient de retirer son
casque et sa cagoule. Il est en sueur, il a les cheveux en bataille
mais affiche un sourire satisfait au terme du premier « run »
qu’il vient d’effectuer sur une portion de la route des Etangs.
« La voiture est stable et répond parfaitement aux
sollicitations » confie-t-il pour ponctuer ce premier essai sur
route de sa toute nouvelle Alpine RGT.
Un bolide qui aura été la vedette de ces essais privés, aux côtés de la Clio Rally 5 flambant neuf et les deux ancêtres du jour : une R5 Turbo et une Alpine A310, affichant sans vergogne respectivement 38 et 42 ans.
Avant de s’élancer sur la portion de route de 3.5 km, le très expérimenté Jean-Pierre Traglia, du Team Action Rallye et maître d’œuvre de cette séance d’essais privés, n’a pas manqué de briefer les pilotes afin que tout se passe pour le mieux. C’est également lui qui a géré l’aspect administratif de cette séance, notamment pour obtenir les arrêtés nécessaires des préfectures des Vosges et de Haute-Saône. Un environnement tout à la fois cocooning pour les équipages et nécessairement archi-sécurisé avec pas moins de 9 commissaires répartis sur le parcours qui ont permis, le moment venu, aux pilotes de se lâcher, après une reconnaissance du parcours sur route ouverte. Un moment indispensable où le copilote rédige les notes qu’il aura à relire pour guider le pilote durant les essais course.
Un bolide qui aura été la vedette de ces essais privés, aux côtés de la Clio Rally 5 flambant neuf et les deux ancêtres du jour : une R5 Turbo et une Alpine A310, affichant sans vergogne respectivement 38 et 42 ans.
Avant de s’élancer sur la portion de route de 3.5 km, le très expérimenté Jean-Pierre Traglia, du Team Action Rallye et maître d’œuvre de cette séance d’essais privés, n’a pas manqué de briefer les pilotes afin que tout se passe pour le mieux. C’est également lui qui a géré l’aspect administratif de cette séance, notamment pour obtenir les arrêtés nécessaires des préfectures des Vosges et de Haute-Saône. Un environnement tout à la fois cocooning pour les équipages et nécessairement archi-sécurisé avec pas moins de 9 commissaires répartis sur le parcours qui ont permis, le moment venu, aux pilotes de se lâcher, après une reconnaissance du parcours sur route ouverte. Un moment indispensable où le copilote rédige les notes qu’il aura à relire pour guider le pilote durant les essais course.
Pousser la voiture dans ses derniers retranchements
Avant que son papy puisse débrider les chevaux de son nouveau « joujou », c’est Emilien qui s’occupait de la préparation de l’Alpine dont il a conçu la livrée « Sur un logiciel de jeu de course de voitures où il est possible de décorer sa voiture à loisir » avouait-il avec le sourire et sans interrompre les préparatifs : le plein de carburant et pression des pneus.
Tout était donc contrôlé pour que Guy Bertrand et Thibaut Raincourt son copilote, s’élancent l’esprit tranquille au feu vert de la sécurité.
Tout était donc contrôlé pour que Guy Bertrand et Thibaut Raincourt son copilote, s’élancent l’esprit tranquille au feu vert de la sécurité.
Dès les premiers mètres, le vrombissement du moteur ne laissait planer aucun doute : le pilote voulait pousser sa voiture dans ses ultimes possibilités.
Chacun à leur tour, les quatre bolides prenaient possession du parcours et les vrombissements se succédaient, emplissant l’environnement forestier de « vroum » pétaradants, un peu plus feutrés pour l’Alpine A310.
Chacun à leur tour, les quatre bolides prenaient possession du parcours et les vrombissements se succédaient, emplissant l’environnement forestier de « vroum » pétaradants, un peu plus feutrés pour l’Alpine A310.
Entre chaque tour, la circulation était rétablie pour quelques minutes, le temps de laisser passer les véhicules bloqués.C’était également le moment pour les pilotes d’échanger avec leur staff, mais aussi de passer un superbe moment de convivialité avec les autres équipages à parler de … mécanique bien sûr !