FRESSE SUR MOSELLE
Du lourd au conseil municipal
C’est du lourd, du très lourd même,
que le conseil municipal réuni ce jeudi a validé sur proposition de
Dominique Peduzzi. Sous le titre « Fresse énergies locales
nouvelles (transition énergétique), les édiles ont donné leur feu
vert à un dossier qui devrait s’étaler sur plusieurs années,
visant à exploiter au maximum de ses capacités le réseau de
chaleur et sa chaudière de 750 kWh. Dans sa présentation de ce
point de l’ordre du jour, le premier magistrat exposait les
réalisations faites dans la même philosophie depuis 1998 :
extension de l’école en bois, viabilité hivernale avec
optimisation du sel de déneigement, fauchage différencié, réseau
de chaleur, éclairage public. Le projet, qui avant toute chose sera
mis à l’étude pour en étudier la faisabilité, devrait
s’attaquer, après une phase de diagnostic complet, à l’isolation
de la moitié des 950 immeubles installés sur le territoire communal
(particuliers et entreprises) avec recherche d’aides financières
pour les foyers modestes, une extension et une diversification du
réseau de chaleur avec notamment la possibilité d’installer un
système de production d’électricité sur la chaudière qui
pourrait évoluer afin de compléter le dispositif de combustion.
Parking solaire
En complément de ces évolutions permettant d’utiliser, de rentabiliser le réseau de chaleur dont le coût a frôlé le million d’Euros et desservant actuellement 10 bâtiments communaux et 48 logements OPAC, il est également question d’installer des ombrières solaires, des zones de parking couvert de panneaux photovoltaïques, afin de produire de l’électricité et de finaliser l’éclairage par LED des bâtiments communaux. Dominique Peduzzi avançait un planning prévisionnel : 2020 : études techniques, 2021 : lancement des appels d’offres et définition du cahier des charges, 2022 : mobilisation des institutionnels et début des travaux et 2023 fin des travaux. « Une petite bricole ! » lançait le maire avec humour au terme de ses explications avant d’enchainer. « Quant à savoir combien cela va coûter, c’est impossible à dire pour l’instant. Il est possible qu’il y ait une opportunité avec un plan de relance de l’économie au niveau national. En tous cas, ce dossier est également destiné à montrer notre volonté à nos partenaires ».
En complément de ces évolutions permettant d’utiliser, de rentabiliser le réseau de chaleur dont le coût a frôlé le million d’Euros et desservant actuellement 10 bâtiments communaux et 48 logements OPAC, il est également question d’installer des ombrières solaires, des zones de parking couvert de panneaux photovoltaïques, afin de produire de l’électricité et de finaliser l’éclairage par LED des bâtiments communaux. Dominique Peduzzi avançait un planning prévisionnel : 2020 : études techniques, 2021 : lancement des appels d’offres et définition du cahier des charges, 2022 : mobilisation des institutionnels et début des travaux et 2023 fin des travaux. « Une petite bricole ! » lançait le maire avec humour au terme de ses explications avant d’enchainer. « Quant à savoir combien cela va coûter, c’est impossible à dire pour l’instant. Il est possible qu’il y ait une opportunité avec un plan de relance de l’économie au niveau national. En tous cas, ce dossier est également destiné à montrer notre volonté à nos partenaires ».