HAUTE MOSELLE
Eaux de Presles : le bilan 2019
Comme chaque année, les conseils
municipaux concernés ont été amenés à prendre connaissance du
RPQS (Rapport sur le Prix et la Qualité du Service) du Syndicat des
Eaux de Presles. Ce rapport concerne l’année 2019. Le premier
chiffre concerne le nombre d’abonnés qui est en légère
augmentation avec 2 482 (contre 2 465 en 2018, soit une
augmentation de 0.8%). Ces abonnés se répartissent de la façon
suivante sur les 105 kilomètres de réseau : 397 à Ferdrupt,
959 à Fresse sur Moselle, 66 au Thillot, 962 à Ramonchamp, et 98 à
St Maurice sur Moselle. Le Syndicat a puisé sur l’année 310 020
m3 dans le puits de Presles qui est capable de délivrer jusqu’à
2400m3 par jour, contre 300 446 m3 en 2018, soit une
augmentation de 3.1%. Sur ce volume, 192 339 m3 ont été
vendus, le solde étant constitué des pertes pour 102 633 m3 –
soit 4.3m3 par jour et par kilomètre de réseau - les besoins de
service et la consommation sans comptage.
Le rendement du réseau ainsi observé est de 66.9% pour un rendement concernant le volume facturé de 62%. Cette part facturée a ainsi permis de générer 216 693.16 Euros de recettes, auxquels il convient d’ajouter 55 235.21 Euros en abonnements. Sur les 1.83 €/m3, 48.24 Euros concernent les redevances à l’Agence de Bassin.
Ce rapport se penche également sur la conformité des eaux, via des analyses. En 20119, sur les 14 prélèvements effectués, tous étaient conformes, tout comme en 2018 d’ailleurs.
Le rendement du réseau ainsi observé est de 66.9% pour un rendement concernant le volume facturé de 62%. Cette part facturée a ainsi permis de générer 216 693.16 Euros de recettes, auxquels il convient d’ajouter 55 235.21 Euros en abonnements. Sur les 1.83 €/m3, 48.24 Euros concernent les redevances à l’Agence de Bassin.
Ce rapport se penche également sur la conformité des eaux, via des analyses. En 20119, sur les 14 prélèvements effectués, tous étaient conformes, tout comme en 2018 d’ailleurs.
Côté
investissements, le rapport liste un montant proche de 60 000
Euros concernant des travaux pour la protection du réservoir de
Ferdrupt, la réfection de l’étanchéité d’une cuve du
réservoir de l’Etraye et la modification des conduites de liaison
entre les cuves, le remplacement et la déviation d’une conduite en
fonte et la réfection de l’étanchéité des coupoles de cuves du
réservoir de l’Etraye
En annexe de ce rapport est jointe une note d’information concernant l’Agence de l’eau. Il est notamment question du « Pourquoi ces redevances ? », question bien évidemment suivie de la réponse : « La redevance des agences de l’eau sont des recettes fiscales environnementales perçues auprès de ceux qui utilisent l’eau et qui en altèrent la qualité et la disponibilité (consommateurs, activités économiques) » et apporte un éclairage sur l’utilisation de ces redevances : « Les agences de l’eau redistribuent cet argent collecté sous forme d’aides pour mettre aux normes les stations d’épuration, fiabiliser les réseaux d’eau potable, économiser l’eau, protéger les captages d’eau potable des pollutions d’origine agricole, améliorer le fonctionnement naturel des rivières » et se conclut par « Au travers du prix de l’eau, chaque habitant contribue à ces actions au service de l’intérêt commun et de la préservation de l’environnement et du cadre de vie ». Comment est-ce possible alors que l’Etat pompe allégrement les caisses des agences de l’eau qui, aujourd’hui ne disposent plus que de moyens réduits pour assumer leur mission ?
En annexe de ce rapport est jointe une note d’information concernant l’Agence de l’eau. Il est notamment question du « Pourquoi ces redevances ? », question bien évidemment suivie de la réponse : « La redevance des agences de l’eau sont des recettes fiscales environnementales perçues auprès de ceux qui utilisent l’eau et qui en altèrent la qualité et la disponibilité (consommateurs, activités économiques) » et apporte un éclairage sur l’utilisation de ces redevances : « Les agences de l’eau redistribuent cet argent collecté sous forme d’aides pour mettre aux normes les stations d’épuration, fiabiliser les réseaux d’eau potable, économiser l’eau, protéger les captages d’eau potable des pollutions d’origine agricole, améliorer le fonctionnement naturel des rivières » et se conclut par « Au travers du prix de l’eau, chaque habitant contribue à ces actions au service de l’intérêt commun et de la préservation de l’environnement et du cadre de vie ». Comment est-ce possible alors que l’Etat pompe allégrement les caisses des agences de l’eau qui, aujourd’hui ne disposent plus que de moyens réduits pour assumer leur mission ?